The responsibility of prevention

En français plus bas…

As a liberal country, Switzerland is proud to bank on individual responsibility as a rampart against the spread of the COVID virus. Yet the only responsibility granted people is to follow state-advised restrictions, restrictions that, in their rigidity if not their apparent arbitrariness, are not always self-evident or effective. Such preventative measures constitute a limited responsibility when compared with taking the necessary steps to arm yourself against such diseases. Beyond throwing up physical barriers like washing your hands or keeping your distance, there’s an urgent need to be aware of the impact of what you eat, what you drink and how you live. Absolutely no effort is being made either by the state or by the representatives of main-stream medical professions to advise on measures of prevention, notably to raise immunity. With remarkable cynicism, people showing signs of the virus are told to self isolate and only call the hospital if it gets too bad. No advice is given as to what to do to protect against or ward off the virus. Why? Possibly because main-stream medecine has no answer to offer and refuses to accept the legitimacy of folk remedies, arguing that they are not scientifically proven. All hope is being gambled on costly pharmaceutical solutions. Vaccination, while it might be a partial answer, does not afford the personal empowerment that being able to build up your own immune responses would. A vaccine targets a specific virus, whereas efforts of prevention aimed at improving immunity would not only help against the current virus, but the next one too, and the ones after that.

En tant que pays libéral, la Suisse est fière de miser sur la responsabilité individuelle comme rempart contre la propagation du virus COVID. Pourtant, la seule responsabilité accordée aux gens est de suivre les restrictions imposées par l’État, restrictions qui, dans leur rigidité sinon leur arbitraire apparent, ne sont pas toujours évidentes ou efficaces. Ces mesures préventives constituent une responsabilité limitée par rapport à la prise des mesures nécessaires pour vous armer contre de telles maladies. Au-delà de jeter des barrières physiques comme se laver les mains ou garder ses distances, il est urgent d’être conscient de l’impact de ce que vous mangez, de ce que vous buvez et de votre mode de vie. Absolument aucun effort n’est fait ni par les autorités ni par les représentants de la ‘medecine officielle’ pour donner des informations sur des mesures de prévention, notamment pour renforcer l’immunité. Avec un cynisme remarquable, on dit aux personnes présentant des signes du virus de s’isoler et d’appeler l’hôpital seulement si cela devienne grave. Aucun conseil n’est donné sur ce qu’il faut faire pour se protéger ou éloigner le virus. Pourquoi? Peut-être parce que la médecine traditionnelle, trop dépendante des produits pharmaceutiques, n’a pas de réponse à offrir et refuse d’accepter la légitimité des remèdes populaires, arguant qu’ils ne sont pas scientifiquement prouvés. Tout espoir est mis sur des solutions pharmaceutiques coûteuses. La vaccination, bien qu’elle puisse être une réponse partielle, ne donne pas l’autonomisation personnelle qu’accorderait le fait d’être capable d’augmenter ses propres réponses immunitaires. Un vaccin cible un virus spécifique, alors que des efforts de prévention visant à améliorer l’immunité aideraient non seulement contre le virus actuel, mais aussi le suivant et les suivants.

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